Découvrez nos premières marques partenaires, aux valeurs proches des nôtres, et avec qui nous collaborons afin de récompenser nos futurs ambassadeurs Tookki !
Pachamama :
Histoire : Juliette et Gaétan sont les fondateurs de Pachamama.
En 2017, ils partent voyager plusieurs mois en Amérique du Sud et tombent sous le charme, particulièrement de la Bolivie. Ils font sur place la rencontre d’artisans aux savoir-faire traditionnels exceptionnels. Parmi eux, Celia, leur fait découvrir l’univers des sacs en cuir, qu’elle fabrique à la main – ils sont éblouis.
La graine est plantée, et l’envie ne les quitte plus. Ils finissent par acheter un sac qui fera le tour de la planète avec eux.. Ce n’est que trois mois plus tard, en rentrant en France que Juliette commence à le porter.
C’est ainsi que leur est venue l’idée de faire profiter au reste du monde de cet artisanat bolivien qui allie qualité et style. Le design a été peaufiné, repensé, les dimensions et les matières également, pour créer Pachamama.
La première collection est lancée !
Le concept et la fabrication :
L’éthique et les artisans au coeur du projet : L’ambition du projet Pachamama est de pouvoir produire de façon responsable en Bolivie, de participer à l’économie locale et de valoriser le savoir-faire des artisans.
De façon plus large, ce projet s’inscrit dans le concept de Slow Fashion. Il répond au désir de donner plus de sens à notre consommation en ralentissant notre rythme d’achats et en privilégiant des produits de meilleure qualité qui dureront dans le temps. Pour Pachamama cela signifie produire des sacs à dos durables à partir de matières de qualité et dans le respect de toutes les parties prenantes du projet.
Atelier commerce équitable : Afin d’avoir un impact social positif, Pachamama a confié la production de ses sacs à dos à un atelier labellisé commerce équitable situé à La Paz.
Cette structure référencée par le label de commerce équitable WFTO (World Fair Trade Organization) fonctionne comme une coopérative. Chaque artisan travaille de chez lui de façon autonome. Ainsi, les sacs à dos sont entièrement fabriqués à la main par les artisans. Une journée entière est nécessaire pour réaliser un sac à dos.
Fonctionnement de l’atelier :
Le label définit des normes strictes au niveau du temps de travail et des rémunérations. Les salaires des artisans sont définis en accord avec l’organisation de commerce équitable qui s’assure que le prix défini soit le prix juste.
Ensuite, Pachamama paye 15% supplémentaires qui sont reversés à l’organisation. Cet argent sert au bon fonctionnement de l’association et permet d’assurer un revenu minimum aux artisans en cas de maladies ou impossibilité de travailler.
Pachamama a pour ambition de créer des sacs à dos différemment, dans le respect de ceux qui les fabriquent.
Les matériaux :
Les sac sont fabriqués à partir de matériaux de haute qualité choisis dans la région.
L’objectif est simple : acheter localement les matières premières et privilégier les circuits courts afin de participer à l’économie bolivienne et minimiser notre impact environnemental.
- Cuir, matière noble et durable : Les sacs à dos sont composés de cuir lisse et de cuir velours provenant de vaches.
Matière phare dans l’artisanat bolivien, le cuir de vache est réputé pour sa robustesse et sa souplesse. C’est pourquoi Pachamama choisit chaque pièce de cuir avec soin afin de réaliser des produits de haute qualité. Ainsi, les sacs à dos Pachamama se patineront et se bonifieront avec le temps.
Enfin, l’utilisation du cuir de vache permet en particulier de proposer des sacs et accessoires résistants qui vous accompagneront durablement dans votre vie quotidienne.
- Le tissu aguayo : C’est un symbole de l’artisanat Bolivien. Traditionnellement réalisées en laine de lama, les pièces d’aguayo décrivent les légendes des différentes communautés. Symbolique et esthétique, il reste un objet du quotidien pour les indiens de l’altiplano.
Malheureusement, le marché du tissu artisanal aguayo est aujourd’hui confronté à d’importantes difficultés en Bolivie. En effet, le développement de contrefaçons, bien moins chères et plus rapides à fabriquer en usine au détriment de la qualité, lui porte préjudice.
Face à cette situation, de nombreux ateliers jusqu’ici spécialisés dans la confection d’aguayo ont dû se tourner vers d’autres alternatives afin de survivre – entraînant une raréfaction du savoir-faire.
Face à ce constat, le souhait de la marque est de contribuer à la réhabilitation de cet artisanat unique. Pour cela, Pachamama a établi un partenariat avec un atelier spécialisé dans la confection d’aguayo de haute qualité. Ils travaillent ainsi quotidiennement avec eux sur la recherche de motifs authentiques et contemporains. Pour les intégrer ensuite de façon discrète et élégante à leurs modèles, à l’intérieur des rabats.
Le Basiq :
Le Basiq est une nouvelle marque de vêtements intemporels, écologiques et socialement responsables. L’objectif : démocratiser la mode écologique !
La marque travaille avec les pays en voie de développement et chaque fournisseur a été rigoureusement choisi pour respecter l’éthique de la marque.
L’existant : La production d’un tee-shirt en coton conventionnel nécessite 3400 litres d’eau. Alors qu’une production en coton biologique nécessite uniquement 1500 litres d’eau.
La culture du coton est l’une des plus polluantes, elle utilise 25% des pesticides mondiaux et représente seulement 10% des terres cultivées.
Saviez-vous qu’un tee-shirt parcourt en général 48.000km avant d’arriver dans votre armoire ? Chez Le Basiq, il ne parcourt que 8000km, le fournisseur gère toute la chaine de production. Du filage à la confection des vêtements, tout se passe au même endroit. On limite donc le nombre d’intermédiaires, ce qui réduit les déchets plastiques qui auraient servi lors du transport.
Ainsi l'empreinte carbone est limitée.
L’éthique :
La marque a choisi son fournisseur en fonction de son impact environnemental et social. L’utilisation du coton biologique évite d’empoisonner l’eau des fleuves et des rivières, car il ne nécessite pas de produits chimiques ni d’insecticide. Cette même eau continuera son cycle naturel sans avoir été polluée.
Grâce au label Sa 8000, les travailleurs ont une régulation des horaires de travail, des conditions de travail ainsi que de leur salaire.
L’usine a récemment été fermée pendant deux jours afin que les employés puissent profiter d’un festival.
Pourquoi produire en Inde ?
Le coton pousse uniquement dans les pays chauds : Inde, Etats-Unis, Brésil, Australie, Afrique, Ouzbékistan. Et non pas en Europe comme on pourrait le penser.
La production du coton équitable et durable est gérée par une coopérative, qui permet aux petits agriculteurs d’avoir un revenu cohérent avec leur travail ainsi qu’une sécurité de salaire.
L’objectif était de réduire le nombre d’intermédiaires tout en améliorant les conditions des travailleurs, et la marque a réussi à réunir toutes ces conditions grâce à ce fournisseur.
Des vêtements intemporels pour limiter les déchets :
Rien qu’aux États-Unis, un américain jette chaque année 37 kilos de vêtements, ce qui fait 11 millions de tonnes par an au total. Hormis le coton, tous les vêtements contenant des fibres non naturelles prennent 200 ans à se décomposer dans la nature, tout en rejetant des gaz toxiques. C’est pour cette raison que Le Basiq a décidé de produire des vêtements intemporels et écologiques que vous pourrez porter de nombreuses années tout en étant à la mode.
Enfin, Le Basiq a mis en place des partenariats avec des ONG dans des secteurs différents. Sur chaque vente, un repas est offert en Asie à un enfant.
N’Go :
N’go fabrique des chaussures qui valorisent la richesse de l'artisanat vietnamien. La marque travaille équitablement avec des artisans issus de la minorité ethnique des Thaï Blancs, qui fabriquent des tissages traditionnels entièrement faits à la main. Ce sont leurs tissus que l'on retrouve sur les N'go et qui en font toute l’identité et l’originalité.
N'go s’engage sur un partenariat solidaire et socialement responsable avec l’ONG Sao Bien. À chaque paire de chaussures achetée, vous participez à la construction d'écoles au Vietnam. La marque soutient ainsi l'éducation et la scolarisation des enfants dans les villages marginalisés du nord du pays #ngoforeducation.
Histoire : Tout commence en 2016, Ronan termine deux années passées au Vietnam au sein d’une ONG tandis que Kevin rentre d’un voyage au Mexique…
L’idée de créer des chaussures sociales et solidaires commence à naître.
Apres être rentré quelques mois à Nantes, Ronan décide finalement de retourner au Vietnam afin de commencer à créer N’go.
Fin avril 2017, Ronan et Kevin lancent une campagne de crowdfunding sur la plateforme dédiée Kisskissbankbank afin de financer leur première production : en seulement 10 jours, l’objectif de 200 précommandes a été atteint, et après 40 jours de campagne, c’est plus de 300 paires de N’go qui ont été expédiées aux quatre coins du monde.
Le Vietnam est un pays multi-ethnique comprenant plus d’une cinquantaine de groupes distincts qui vivent principalement dans les régions montagneuses du pays. Arrivé de Chine il y a plus de mille ans, l'ethnie des Thaïs se divise elle-même en plusieurs groupes parmi lesquels on compte celui des Thaï Blancs.
C’est lors de ses premiers jours au Vietnam que Ronan a découvert l’artisanat traditionnel des Thaï Blancs, tombant ainsi nez à nez avec les motifs qui allaient orner deux ans plus tard l’ensemble des baskets N’go. Ainsi, la marque travaille main dans la main avec les artisanes des provinces de Nghê An et de Hoa Binh. Réunies en coopératives, elles sont ainsi en mesure d’organiser collectivement leur travail et de fixer elles-mêmes leurs prix.
Une fois tissés, les motifs sont entreposés à Ho-Chi-Minh-Ville pour être assemblés en atelier.
La fabrication se déroule ensuite en 4 temps successifs :
- l’échantillonnage : Les créateurs testent avec l’atelier les différentes options d’assemblage des baskets variant sur la forme, la couleur et les matériaux utilisés. L’échantillon sélectionné servira ensuite de modèle à l’atelier pour la fabrication de la collection dans son ensemble.
- la production : Une fois tous les détails des modèles soigneusement réglés avec l’atelier, il faut passer à la production finale des chaussures.
- le contrôle qualité : Le contrôle qualité, accompagné des tests physiques et chimiques, est une étape primordiale du cycle de production.
- l’emballage : Papier DO 100% naturel, produit par des artisans vietnamiens à partir de la fibre rhamnoneuron. Sac tissé à la main par les artisans Thaï Blancs, en coton 100%. Boîte en carton recyclé.
Umòja :
Une marque qui valorise les savoir-faire artisanaux fragiles.
Umòja revisite les savoir-faire textiles artisanaux des territoires en leur donnant une image à la fois contemporaine, visionnaire et mode afin de les rendre attractifs et maintenir l’emploi dans les coopératives d’artisans.
Tous leurs partenaires sont des entrepreneurs sociaux engagés qui œuvrent pour la conservation de ces patrimoines ancestraux, le respect de l’environnement et le développement des liens sociaux. En combinant tradition, modernité et innovation, la marque permet à ces artisans d’accéder à un nouveau marché et d’atteindre l’autosuffisance économique.
Les chaussures Umòja, en plus de promouvoir les patrimoines textiles traditionnels, ont chacune une histoire différente… Chaque tissu utilisé illustre à travers ses motifs, ses formes géométriques et ses couleurs, une histoire bien spécifique. Ces toiles sont une invitation à la découverte des mythes traditionnels de ces régions africaines. La qualité du tissage des tissus, la beauté des motifs et l’élégance du design permettent à chaque paire de s’adapter à tous les styles.
De plus, Umòja met l’innovation au coeur de ses actions. Les créateurs souhaitent engager une réflexion sur les impacts environnementaux de l’industrie de la mode. La marque exclue l’utilisation du cuir animal et de la teinture artificielle. Les matériaux naturels sont privilégiés : coton bio, textile d’écorce d’arbre, liège, teinture à base de minéraux et végétaux…
Tous ces matériaux sont produits localement par des petites communautés de producteurs. Les créateurs ont choisi d’aller directement à la rencontre de ces producteurs en Afrique, avec pour objectif de s’approvisionner en direct auprès des artisans.
Les matériaux :
Les toiles utilisées dans la fabrication des chaussures Umòja proviennent de fibres naturelles et innovantes dans l’industrie de la mode. Travaillées délicatement à la main par des artisans issus de coopératives ou indépendants, elles sont brutes. En privilégiant l’utilisation de ces fibres, la marque engage une réflexion sur les impacts de l’industrie de la mode sur l’homme et la planète, et essaye ainsi d’apporter des alternatives plus vertueuses tout en valorisant ces savoirs-faire traditionnels.
Les valeurs et principes d'Umòja amènent les créateurs à concilier élégance et responsabilité sociale et environnementale. C'est ainsi qu'ils ont opté pour l’utilisation de matières premières naturelles, biologiques et responsables, telles que le raphia, les écorces d'arbres, le liège, les fibres de bananiers...
La teinture utilisée pour teindre les tissus est obtenue à partir de matières minérale et végétale. Les réalisations sont non-polluantes et donnent un très beau résultat. Les artisans utilisent les feuilles, les racines, les écorces, de l’argile et des cailloux pour obtenir différents types de colorations. La singularité de la teinture naturelle réside dans la musicalité et variation des teintes. En fonction des saisons, la puissance des pigments change, donnant à chaque fois un résultat unique.
Chaque teinture a ainsi sa propre identité, comme les sneakers Umòja !
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